https://ketoconazoleinhibitor.com/looking-at-endometrial-receptors-array-in-order-to-histologic-courting-in-the/ in English, French Une atteinte cardiaque secondaire à une myocardite induite par une ehrlichiose monocytaire humaine constitue une complication extrêmement rare et très peu documentée. Le cas présenté fait ressortir l’importance d’une reconnaissance rapide du problème comme première étape de la prise en charge.in English, French Un homme de 18 ans, chez qui on avait implanté un conduit ventricule droit-artère pulmonaire (VD-AP) pour réparer une cardiopathie congénitale et qui avait des antécédents de vascularite nécessitant une immunosuppression continue par l’azathioprine, s’est présenté à l’hôpital affilié à l'Université d'Ottawa pour une bactériémie. Une échocardiographie transthoracique n’a révélé aucune anomalie au web site du conduit. Elle a été suivie d’un examen de tomographie par émission de positrons (TEP) au fludésoxyglucose, qui a mis en évidence une disease du conduit VD-AP. Il est important de retenir que, comme dans le cas d’une endocardite valvulaire classique, un échocardiogramme transthoracique sans particularité ne permet pas d’exclure une infection de conduit dans cette population, et que l’imagerie nucléaire peut être d’une grande utilité diagnostique.in English, French Contexte Il est établi que la présence d’une sonde endocavitaire dans le ventricule droit est une cause de régurgitation tricuspide (RT), mais le mécanisme en cause n’est pas encore bien compris. Nous avons tenté d’évaluer la corrélation entre certaines caractéristiques des sondes et l’apparition d’une RT secondaire à l’implantation d’une sonde endocavitaire. Méthodologie Il s’agit d’une étude prospective menée dans un seul center. Une échocardiographie bidimensionnelle a été réalisée avant la mise en place d’une sonde endocavitaire, ainsi qu’aux visites de suivi menées 4 à 6 semaines, 6 mois et 12 mois après l’intervention. Nous avons évalué la position de la sonde e